Vendredi 9 juil.
Vendredi 9 juil.
20h30 Square de la résistance 48.840135, -0.888341
Quatre Parallèles : La Traversée
Amiens (80) / spectacle acrobatique / 50 min / tout public
La Traversée, c'est une famille de cirque qui ne cesse de vouloir transformer les frontières qui nous limitent en instant d'humanité. Tous d'origines et de cultures différentes, cette troupe est à l'image d'un cirque sans chapiteau. L'esprit du cirque les pousse à avancer plus loin, plus haut avec cette envie de partager au gré de leurs rencontres leur passion avec le public.
Un cirque qui construit son propre langage, un collectif qui assume ses différences pour réaliser ses rêves. La Traversée raconte la vie - mouvementée et vertigineuse - d'une troupe de cirque. D'une complicité subtile et communicative, ces acrobates célèbrent la liberté de vivre leur passion, la liberté de se dévoiler, de s'identifier à l'autre, de se disputer, de se réconcilier, de s'aimer...
Notre cirque vit dans le moment présent, il est enthousiaste et délirant. Une ode à la vie, une prise de risque, un souffle suspendu, une "goutte" de sueur sur le front, les délices de l'alegresse. Le rire donne le rythme, la prouesse acrobatique enfonce le clou.
Un cirque qui construit son propre langage, un collectif qui assume ses différences pour réaliser ses rêves. La Traversée raconte la vie - mouvementée et vertigineuse - d'une troupe de cirque. D'une complicité subtile et communicative, ces acrobates célèbrent la liberté de vivre leur passion, la liberté de se dévoiler, de s'identifier à l'autre, de se disputer, de se réconcilier, de s'aimer...
Notre cirque vit dans le moment présent, il est enthousiaste et délirant. Une ode à la vie, une prise de risque, un souffle suspendu, une "goutte" de sueur sur le front, les délices de l'alegresse. Le rire donne le rythme, la prouesse acrobatique enfonce le clou.
21h30 Vire - Chateau du cotin 48.840967, -0.88694
L'invention de moi : Chronique de mur de Barrez
Vire (14) / 60min
Lieu métaphore où le pire est toujours possible, le petit village de Mur-de-Barrez, au nord de l’Aveyron, devient le théâtre d’une remise en cause impitoyable de l’ordre mondial. La rigueur de l’hiver auvergnat, l’austérité de la campagne profonde, le pathétique des personnages qui le hante, tout concours à élaborer une sorte de mythologie locale et avant tout propre à l’auteur.
Contaminé par le virus BZ89, le personnage principal (MOI) propage la contagion à travers le monde, détruisant sur son passage tous les fondements de la société et tous les fondements tout court. Sans logique apparente, il fait le mal autant que le bien, et croise de nombreuses figures : sa mère, Ceaucescu, Ponce Pilate, un chanteur de variétés, une journaliste de France 3 Auvergne, un chef Inuit, un ingénieur de la Nasa, La Démocratie dans le caniveau, une vieille bourgeoise philosophe, une hôtesse de l’air nymphomane… (liste non exhaustive)
Contaminé par le virus BZ89, le personnage principal (MOI) propage la contagion à travers le monde, détruisant sur son passage tous les fondements de la société et tous les fondements tout court. Sans logique apparente, il fait le mal autant que le bien, et croise de nombreuses figures : sa mère, Ceaucescu, Ponce Pilate, un chanteur de variétés, une journaliste de France 3 Auvergne, un chef Inuit, un ingénieur de la Nasa, La Démocratie dans le caniveau, une vieille bourgeoise philosophe, une hôtesse de l’air nymphomane… (liste non exhaustive)